Dans ma vie, il n’y a pas de bagnole (pas plus que de sécheuse à linge, de télé ou de four micro-ondes comme mentionné dans Programme spécial).
Je peux me permettre de vivre entre deux îles parce que je peux travailler peu importe où se trouve mon portable, en autant qu’il soit relié à internet, préférablement haute-vitesse. J’ai aussi besoin d’un téléphone pour recevoir des appels de Montréal sans que se ruinent mes correspondants - et aussi en faire à un prix plus raisonnable que ceux pratiqués par le Bell local (j’ai nommé Telmex).
Ma dernière acquisition : la téléphonie numérique de Bell, ce qui signifie que je me promène avec une jolie petite boîte qui, une fois branchée à internet d’un bord, à un téléphone de l’autre, ne se rappelle plus si elle est à Montréal ou ailleurs. Gé-ni-al, je vous le dis.
Donc, une fois rendue sur ma petite île, je branche en chantant le bidule dans le modem et… nada. Rien. Ouch. Il manquait un routeur. Ce que les gars du Bell avaient omis de me préciser. Ils me l’ont confirmé lundi matin quand j’ai pu leur parler.
petite pluie vue du ferry Isla-CancunLundi donc, retour à Cancun pour acheter le-dit routeur, au retour sur l’île, détour chez les gars du câble qui fournissent maintenant un accès haute-vitesse digne de ce nom, mardi débarque le gars du câble et aujourd’hui, dernier appel à Montréal pour installer le routeur – merci Patrick pour ton aide, si tôt le matin!
Tout fonctionne à merveille. Tout le monde a été super fin avec moi, les gars du Bell se sont excusés, le gars du câble était bien aimable.
Je dois cependant constater que de fil en aiguille mon portable l’est de moins en moins, ligoté qu’il est à un tas de petites machines qui ont toutes besoin d’un adaptateur – j’ose à peine vous dire que je suis rendue à trois barres bien remplies. Vive la liberté.
À quand le tout sans fil?