D’une démarche nonchalante, il s’est promené sur le muret qui sépare de son boisé la maison de nos amis.
Quelques étirements plus tard, il faisait une sieste bien méritée.
Il a levé les yeux quand j’ai doucement ouvert la moustiquaire pour le photographier. Et pris la pause sans se faire prier.
Dure vie de chat, par un dimanche après-midi ensoleillé sur une île des mers du sud…